lundi 30 mars 2009

D'amour et d'eau chaude

Il est encore tôt lorsque mes yeux s'ouvrent sur ses longs cheveux bruns.

Mes doigts glissent encore sur sa peau, comme pour se remémorer la passionnante étreinte qui nous a animé une partie de la nuit.
Après quelques minutes et quelques tendres baisers dans le cou, je me lève sans un bruit pour prendre une douche.

Je suis à fleur de peau et sens chaque chaude goute suivrent les lignes de mon corps, je ne peux m'empecher de fermer les yeux sans revoir et sentir chaque instant de cette chaude nuit, sa respiration haletante, ses mains sur moi, ses yeux remplis de désir. 
Ces images provoquent encore un tel émoi que je sens mon sexe se durcir et mes mains descendre le caresser. Le plaisir monte doucement en moi, augmenté par la douce sensation de l'eau qui me caresse le corps.

"Enlève tes mains, je vais le faire..."

Elle était levée et m'observais peut être depuis le début à travers la porte couverte de buée. Elle l'ouvre, entre, puis la referme avec son sourire. Je m'abandonne à son regard, à ses mains qui redécouvre mon corps comme pour la première fois, elle passe derrière moi et reprend là où je m'était arrêté...
Elle embrasse mon dos tendrement en caressant doucement mon sexe et mon torse des deux mains, mes mains parcourent ses fesses, ses hanches, c'est bon...
Je ne me controle plus, le désir rempli tout mon être lorsque je me retourne vers elle.
Je la saisie par les cuisses et la soulève lorsqu'elle passe ses bras autour de mon cou.
La température de l'eau commence à faire pale figure à coté de celle de nos corps entrelacé contre la paroie. 
Je sens mon sexe entrer doucement entre ses douces lèvres gonflées par le désir et l'eau chaude qui glisse sur nous.
Elle embrasse si bien, avec tant de passion que je me sens comme transporté vers une éffusion de plaisir que je sens imminante.
Elle se retire en continuant à m'embrasser avec fougue, la force de ma jouissance canalise toute mon énergie vers un plaisir si intense que je ne sens plus mon corps, que je manque de m'effondrer, comme paralyser par tant de passion...

Il n'est pas encore midi quand mes yeux s'ouvre de nouveaux sur ses cheveux mouillés couvrant à peine ses magnifiques seins...

1 commentaire:

  1. Elle a tellement de chance cette petite brune.
    Si j'étais elle,je me donnerai corps et âme pour rendre cet homme heureux.

    Magnifique texte,tu sais trouver les mots qu'il faut pour faire rêver,imaginer...

    J'aime ce plaisir,ce bonheur en perspective.

    Tendrement,Satheen

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